À propos
Caroline d’Andlau-Hombourg sculpteur en mouvement.
Issue d’une famille alsacienne, Caroline est sensibilisée dès son enfance au monde de l’art. Un grand-père peintre, un oncle sculpteur, un père écrivain, le chemin d’une carrière artistique semble toute tracé.
À 18 ans, elle démarre un long parcours à grands succès dans la restauration de porcelaine (Paris, New York, Londres), « mais la restauration, passionnante, n’est que la prolongation de l’objet dans l’histoire, je n’étais pas libre de mon expression, et l’envie de sculpter me taraudait ».
Exprimer la pureté de ligne, la grâce de l’instant suspendu et la fluidité du Mouvement.
Il y a 15 ans, inspirée à ses débuts de maîtres comme Marino Marini, Henry Moore et Rembrandt Bugatti, elle émerveille son entourage avec ses premières sculptures en bronze par l’élégance des lignes, un bel équilibre et l’énergie vitale qui définissent son travail.
À sa première exposition à Londres, elle a vendu 35 pièces en trois jours !
Animaux, nus et Massaïs.
Les animaux sont un thème de prédilection, sangliers puissants, biches graciles, lièvres bondissants, ses œuvres reflètent son amour inconditionnel de la nature.
Caroline aime aussi les compositions et les nus. Omar, un modèle brésilien au corps admirable, lui inspirera sa série de chasseurs Massaïs.
« Mes personnages sont dans le mouvement, dans l’équilibre de l’instant, de plus en plus aérien ».
Ses bronzes proviennent de fonderies renommées comme Fiorini à Londres, (fonderie d’Henry Moore), Pangolin à Londres, HVH en République Tchèque et Strassacker, à Mulhouse (fonderie de Rembrandt Bugatti, Bartholdi et Dali).
« La patine, je l’aime dorée, brun-rouge et noire, les couleurs nobles du bronze, des tonalités classiques et élégantes. Depuis que je travaille avec Strassacker, ma patine a changé, je la pratique avec la technique de Bugatti, le vert de gris comme base, qui donne une profondeur particulière et rend le bronze, presque vivant ».
Caroline enchaîne plusieurs événements par an et collectionne… les collectionneurs.
Des pièces intimistes aux œuvres monumentales bâties avec puissance et majesté, Caroline refuse les limites.
Une des ses commandes de 2m50 de haut orne une propriété en Autriche. Pas de frontières pour cette artiste cosmopolite et éprise de liberté.
Aujourd’hui, des galeries la représentent en Grande-Bretagne, en Belgique, en Suisse et aux États-Unis. Elle a aussi remporté la médaille d’or à Animal Art Paris en 2018, en 2019 la médaille d’or Grand Prix Sculpture à Animal Art Bruxelles et le Prix des Amis de Rosa Bonheur à Paris en 2022.